L’anthropologue français Marc Auger est décédé à l’âge de 78 ans. Après avoir provoqué un changement radical dans le concept d’anthropologie stéréotypée, Passant de la recherche en histoire à l’exploration du présent immédiat, En « hyper-modernité », Et dans le concept d’urbanisation et de civilisation.
Faites attention à la vie quotidienne contemporaine, Il a ouvert de nouveaux horizons à l’anthropologie, Vivre l’expérience des « non-lieux », Où il n’y a pas de vitesse et ses rituels dans la vie.
Approfondissez vos recherches sur des sujets vitaux, Comme le pouvoir, la magie, les lieux, la ville, les excès de la modernité, Identité et oubli, qu’il a abordé en tant qu’écrivain anthropologue, Déconstruire les sciences humaines pour mieux observer le monde.
Le regretté anthropologue Michel Aguirre se souvient, s’adressant au journal français Le Monde, en disant : Auger a tiré l’ethnologie d’études approfondies pour donner un caractère historique aux sociétés étudiées, Cette spécialisation a également conduit à de nouveaux territoires, la ville, les nouvelles religions, Théâtres de guerre… »
Oger l’a clairement indiqué dans une interview au journal français Le Monde : « Il est d’usage que l’anthropologie étudie les relations sociales au sein d’un groupe humain limité. Compte tenu de son contexte géographique, historique et politique, Mais aujourd’hui, le contexte est devenu mondial et global.
« Il y a des sociétés qui ont des moments qu’il convient d’oublier », a-t-il déclaré. En échange d’un autre, « Il faut l’inspirer et s’en souvenir de toute urgence. »
Il a publié des ouvrages de recherche sur plusieurs sujets. Parmi eux figurent « Dans le métro » (1986), Et « Une seconde visite dans le métro » (2008), « Disneyland et ailleurs » (1997), « Éloge du vélo » (2009), Et « Journal d’une lambeau dans la ville » (2011), «L’anthropologie et le monde globalisé.» (2013).
Ogier est né en 1935 à Poitiers. Il a grandi à Paris dans le 5ème arrondissement. Avec un père qui travaille comme fonctionnaire et une mère femme au foyer. Il fréquente les lycées Montaigne, Puis Louis-le-Grand, Avant d’intégrer l’Ecole Normale Supérieure.
